Bertrand Russell (1872-1970) est, par l’importance de son œuvre philosophique et de son engagement politique, un des plus grands intellectuels du vingtième siècle. Son œuvre philosophique, dont l’influence s’étend jusqu’à nos jours, est d’une grande importante dans l’histoire de la philosophie et surtout pour sa « grosse contribution » à la philosophie analytique… comme son texte sur de la dénotation : qui consiste en une argumentation, qui sera la suivante. Il commencera par présenter la théorie qu’il entend défendre; il examinera ensuite les théories de Frege et de Meinong, montrant pourquoi aucune d’elles ne le satisfait; après quoi il exposera les raisons qui parlent en faveur de la sienne : et pour finir, il va nous expliquer brièvement les conséquences philosophiques (ou répercussions, ondes de choc, impact, etc.) de cette théorie dans le domaine de la philosophie…
De prime abord, par « expression dénotante », il entend une expression semblable à n’importe laquelle des expressions suivantes : un homme, quelque homme, n’importe quel homme, chaque homme, tous les hommes, l’actuel roi de France, le centre de la masse du système solaire au premier instant du XXe siècle, la révolution de la Terre autour du Soleil, la révolution du Soleil autour de la Terre. Aussi une expression n’est-elle dénotante qu’en vertu de sa forme. Trois cas peuvent être distingués selon lui : (1) une expression peut être dénotante et cependant ne rien dénoter : par exemple « l’actuel roi de France ». (2) Une expression peut dénoter un objet déterminé; par exemple, « l’actuel roi d’Angleterre » dénote un certain homme. (3) Une expression peut dénoter de manière ambiguë; « un homme », par exemple, dénote non pas plusieurs hommes, mais un homme ambigu. En somme, la question de la dénotation est d’une très grande importance, non seulement pour la logique et la mathématique, mais aussi pour la théorie de la connaissance.
Ensuite, Russell va faire la distinction entre connaissance directe et connaissance à propos de, c’est distinguer les choses dont nous avons des présentations, des choses que nous n’atteignons qu’au moyen d’expression dénotantes. Par ailleurs, il arrive souvent que nous sachions qu’une certaine expression dénote sans ambiguïté, quoique nous n’ayons aucune connaissance directe de ce qu’elle dénote : c’est ce qui arrive dans le cas du centre de la masse. Dans la perception nous avons une connaissance directe des objets de la perception, et dans la pensée une connaissance directe d’objets d’un caractère logique plus abstrait : mais nous n’avons pas nécessairement de connaissance directe des objets que dénotent les expressions composées de mots dont nous connaissons le sens par connaissance directe. En voici un exemple d’une grande importance : il semble n’y avoir aucune raison de croire que nous connaissons directement les esprits des autres, étant donné qu’ils ne sont pas perçus directement; aussi, ce que nous connaissons à leur propos, nous l’obtenons au moyen de la dénotation. Penser semble toujours prendre son point de départ dans une connaissance directe; mais nous avons des pensées à propos de beaucoup de choses dont nous n’avons pas de connaissance directe.
Pour Bertrand Russell : l’expression « C(x) est toujours vraie » et elle est prise comme une notion ultime et indéfinissable, et les autres se définissent par son moyen terme. Tout, rien et quelque chose sont supposés n’avoir aucun sens isolément, mais un sens est attribué à chaque proposition dans laquelle ils figurent. Tel est le principe de la théorie de la dénotation qu’il souhaite défendre : les expressions dénotantes n’ont jamais aucun sens en elles-mêmes, mais chaque proposition dans l’expression verbale de laquelle elles figurent possède un sens. Les difficultés relatives à la dénotation sont, à son avis, le résultat d’une mauvaise analyse des propositions dont l’expression verbale contient des expressions dénotantes. Il nous restera ensuite à interpréter les expressions qui contiennent le. Ce sont de loin les plus intéressantes et les plus difficiles des expressions dénotantes. Prenez par exemple ce que le langage ordinaire exprime par « Charles II avait un père et un seul ». Par conséquent si cette condition n’est pas remplie, chaque proposition de la forme « C (le père de Charles II) est fausse. Ainsi, chaque proposition de la forme « C (l’actuel roi de France) » est fausse. C’est là un grand avantage de sa théorie. Il nous montrera par la suite que ce n’est pas contraire à la loi de contradiction, comme on pourrait à première vue le supposer.
Nous réduisons ainsi toutes les propositions où figurent des expressions dénotantes à des formes où n’en figurent aucune. En quoi une telle réduction est nécessaire, l’examen qui suit s’efforcera de le montrer. Ce qui parle en faveur de cette théorie, ce sont les difficultés auxquelles on se heurte inévitablement quand on considère que les expressions dénotantes représentent des constituants authentiques des propositions dans l’expression verbale desquelles elles figurent. Bien sûr, il n’y a que la théorie de Frege qui évite précisément cette violation de la loi de contradiction? Celui-ci distingue, dans une expression dénotante, deux éléments, que nous pouvons appeler le sens et la dénotation. L’un des avantages entre sens et dénotation, c’est-à-dire cette distinction est de montrer pourquoi il est souvent utile d’affirmer l’identité. Si nous disons « Socrate est l’auteur de Waverly », nous affirmons une identité de dénotation et une différence de sens. Alors pour récapituler : on peut choisir la première solution en admettant, comme Meinong, des objets qui ne subsistent pas, et en niant qu’ils obéissent à la loi de contradiction : mais il faut, autant que possible, l’éviter. Une autre manière de défendre la même solution est celle qu’adopte Frege en fournissant, au moyen d’une définition, une dénotation purement conventionnelle pour les cas où il n’y en aurait sans cela aucune. Or, néanmoins, la relation entre le sens et la dénotation n’est pas une relation purement linguistique établie par l’intermédiaire de l’expression : une relation purement linguistique établie par l’intermédiaire de l’expression : une relation logique se trouve nécessairement impliquée, que nous exprimons en disant que le sens dénote la dénotation. D’un autre point de vue la façon correcte de s’exprimer est de dire que certains sens ont des dénotations. Et, c’est ainsi que Russell abordera la différence entre l’occurrence primaire et l’occurrence secondaire des expressions dénotantes couramment utilisés. Alors ce qui suppose que des expressions telles que « l’actuel roi de France », qui ne dénotent pas d’individus réels, dénotent cependant un individu, mais un individu irréel. Ce qui est en substance similaire à la théorie de Meinong, dont nous avons vu qu’elle devait être rejetée, car elle entre en conflit avec la loi de contradiction. La théorie de la dénotation russellienne nous met en mesure de soutenir qu’il n’y a pas d’individus irréels; de sorte que la classe nulle est la classe qui ne contient aucun membre, non pas la classe ayant pour membre tous les individus irréels.
Pour clarifier et résumer : cette théorie de la dénotation a une conséquence intéressante : quand nous n’avons pas de connaissance directe immédiate de quelque chose, mais seulement une définition au moyen d’expressions dénotantes, les propositions dans lesquelles cette chose est introduite au moyen d’une expression dénotante ne comptent pas vraiment cette chose parmi leurs constituants, mais contiennent au contraire les constituants exprimés par les différents mots de l’expression dénotante. Aussi dans chaque proposition que nous pouvons appréhender (c’est-à-dire non pas seulement celles de la vérité ou de la fausseté de laquelle nous pouvons juger, mais toutes celles auxquelles nous pouvons penser), tous les constituants sont des entités réelles desquelles nous avons une connaissance directe. Or nous ne connaissons pas des choses telles que la matière (au sens que la matière a en physique) ou l’esprit d’autrui, qu’au moyen d’expressions dénotantes, c’est-à-dire que nous ne les connaissons pas directement, mais seulement comme ce qui a telles et telles propriétés. Aussi, quoique nous puissions former des fonctions propositionnelles C(x) qui doivent valoir pour telle et telles particules matérielles, ou pour l’esprit de un tel, nous ne connaissons pas directement les propositions qui affirment ces choses que nous savons devoir être vraies, parce que nous ne pouvons appréhender les entités réelles en question. Ce que nous savons, c’est que « un tel a un esprit qui a telles et telles propriétés », mais nous ne savons pas que « A a telles et telles propriétés », où A est l’esprit en question. Dans un tel cas, nous connaissons les propriétés d’une chose sans avoir de connaissance directe de la chose elle-même, et sans, par conséquent, connaître une seule proposition dont la chose elle-même soit un constituant!
Il y aura de nombreuses autres conséquences du point de vue que Russell défend, mais il ne dira pas un mot. Il veut seulement nous prier de ne pas rejeter sa thèse de la dénotation – ainsi qu’on pourrait être tenté de le faire à cause de son excessive complication – jusqu’à ce qu’on ait nous-mêmes tenté d’élaborer une fameuse théorie de la dénotation. Une telle tentative nous convaincra, dit-il, il le croit, que quelle que puisse être la théorie vraie, elle ne saurait avoir la simplicité que l’on peut en attendre dès le départ… d’ailleurs, il fut aussi intéressé par la question des fondements des mathématiques dès ses premiers travaux (An Essay on the fondation of Geometry (1897)), il rédige les Principles of Mathematics (1903) et, il a collaboré avec A.N Whitehead, les trois volumes des fameuses Principia Mathematica (1911 -13). À la suite de Frege, il aura été un des défenseurs du « logicisme », une des grandes philosophies des mathématiques du vingtième siècle. En France, Russell débattra avec Poincaré dans les pages de la Revue de Métaphysique et de morale. D’ailleurs, sur ces questions, il aura une profonde influence sur Couturat, Ramsey et Carnap.
Et pour finir, ayant été éduqué à Cambridge à la fin du XIXe siècle, Russell, en compagnie de son ami G.E. Moore, rejeta la philosophie de ses maîtres idéalistes (Bradley, McTaggart) – un tournant fondamental dans l’histoire de la philosophie anglaise – au profit de ce qu’il appelait alors, dans une conférence à la Société française de philosophie en 1911, le « réalisme analytique », programme d’où allait sortir la philosophie analytique!
De prime abord, par « expression dénotante », il entend une expression semblable à n’importe laquelle des expressions suivantes : un homme, quelque homme, n’importe quel homme, chaque homme, tous les hommes, l’actuel roi de France, le centre de la masse du système solaire au premier instant du XXe siècle, la révolution de la Terre autour du Soleil, la révolution du Soleil autour de la Terre. Aussi une expression n’est-elle dénotante qu’en vertu de sa forme. Trois cas peuvent être distingués selon lui : (1) une expression peut être dénotante et cependant ne rien dénoter : par exemple « l’actuel roi de France ». (2) Une expression peut dénoter un objet déterminé; par exemple, « l’actuel roi d’Angleterre » dénote un certain homme. (3) Une expression peut dénoter de manière ambiguë; « un homme », par exemple, dénote non pas plusieurs hommes, mais un homme ambigu. En somme, la question de la dénotation est d’une très grande importance, non seulement pour la logique et la mathématique, mais aussi pour la théorie de la connaissance.
Ensuite, Russell va faire la distinction entre connaissance directe et connaissance à propos de, c’est distinguer les choses dont nous avons des présentations, des choses que nous n’atteignons qu’au moyen d’expression dénotantes. Par ailleurs, il arrive souvent que nous sachions qu’une certaine expression dénote sans ambiguïté, quoique nous n’ayons aucune connaissance directe de ce qu’elle dénote : c’est ce qui arrive dans le cas du centre de la masse. Dans la perception nous avons une connaissance directe des objets de la perception, et dans la pensée une connaissance directe d’objets d’un caractère logique plus abstrait : mais nous n’avons pas nécessairement de connaissance directe des objets que dénotent les expressions composées de mots dont nous connaissons le sens par connaissance directe. En voici un exemple d’une grande importance : il semble n’y avoir aucune raison de croire que nous connaissons directement les esprits des autres, étant donné qu’ils ne sont pas perçus directement; aussi, ce que nous connaissons à leur propos, nous l’obtenons au moyen de la dénotation. Penser semble toujours prendre son point de départ dans une connaissance directe; mais nous avons des pensées à propos de beaucoup de choses dont nous n’avons pas de connaissance directe.
Pour Bertrand Russell : l’expression « C(x) est toujours vraie » et elle est prise comme une notion ultime et indéfinissable, et les autres se définissent par son moyen terme. Tout, rien et quelque chose sont supposés n’avoir aucun sens isolément, mais un sens est attribué à chaque proposition dans laquelle ils figurent. Tel est le principe de la théorie de la dénotation qu’il souhaite défendre : les expressions dénotantes n’ont jamais aucun sens en elles-mêmes, mais chaque proposition dans l’expression verbale de laquelle elles figurent possède un sens. Les difficultés relatives à la dénotation sont, à son avis, le résultat d’une mauvaise analyse des propositions dont l’expression verbale contient des expressions dénotantes. Il nous restera ensuite à interpréter les expressions qui contiennent le. Ce sont de loin les plus intéressantes et les plus difficiles des expressions dénotantes. Prenez par exemple ce que le langage ordinaire exprime par « Charles II avait un père et un seul ». Par conséquent si cette condition n’est pas remplie, chaque proposition de la forme « C (le père de Charles II) est fausse. Ainsi, chaque proposition de la forme « C (l’actuel roi de France) » est fausse. C’est là un grand avantage de sa théorie. Il nous montrera par la suite que ce n’est pas contraire à la loi de contradiction, comme on pourrait à première vue le supposer.
Nous réduisons ainsi toutes les propositions où figurent des expressions dénotantes à des formes où n’en figurent aucune. En quoi une telle réduction est nécessaire, l’examen qui suit s’efforcera de le montrer. Ce qui parle en faveur de cette théorie, ce sont les difficultés auxquelles on se heurte inévitablement quand on considère que les expressions dénotantes représentent des constituants authentiques des propositions dans l’expression verbale desquelles elles figurent. Bien sûr, il n’y a que la théorie de Frege qui évite précisément cette violation de la loi de contradiction? Celui-ci distingue, dans une expression dénotante, deux éléments, que nous pouvons appeler le sens et la dénotation. L’un des avantages entre sens et dénotation, c’est-à-dire cette distinction est de montrer pourquoi il est souvent utile d’affirmer l’identité. Si nous disons « Socrate est l’auteur de Waverly », nous affirmons une identité de dénotation et une différence de sens. Alors pour récapituler : on peut choisir la première solution en admettant, comme Meinong, des objets qui ne subsistent pas, et en niant qu’ils obéissent à la loi de contradiction : mais il faut, autant que possible, l’éviter. Une autre manière de défendre la même solution est celle qu’adopte Frege en fournissant, au moyen d’une définition, une dénotation purement conventionnelle pour les cas où il n’y en aurait sans cela aucune. Or, néanmoins, la relation entre le sens et la dénotation n’est pas une relation purement linguistique établie par l’intermédiaire de l’expression : une relation purement linguistique établie par l’intermédiaire de l’expression : une relation logique se trouve nécessairement impliquée, que nous exprimons en disant que le sens dénote la dénotation. D’un autre point de vue la façon correcte de s’exprimer est de dire que certains sens ont des dénotations. Et, c’est ainsi que Russell abordera la différence entre l’occurrence primaire et l’occurrence secondaire des expressions dénotantes couramment utilisés. Alors ce qui suppose que des expressions telles que « l’actuel roi de France », qui ne dénotent pas d’individus réels, dénotent cependant un individu, mais un individu irréel. Ce qui est en substance similaire à la théorie de Meinong, dont nous avons vu qu’elle devait être rejetée, car elle entre en conflit avec la loi de contradiction. La théorie de la dénotation russellienne nous met en mesure de soutenir qu’il n’y a pas d’individus irréels; de sorte que la classe nulle est la classe qui ne contient aucun membre, non pas la classe ayant pour membre tous les individus irréels.
Pour clarifier et résumer : cette théorie de la dénotation a une conséquence intéressante : quand nous n’avons pas de connaissance directe immédiate de quelque chose, mais seulement une définition au moyen d’expressions dénotantes, les propositions dans lesquelles cette chose est introduite au moyen d’une expression dénotante ne comptent pas vraiment cette chose parmi leurs constituants, mais contiennent au contraire les constituants exprimés par les différents mots de l’expression dénotante. Aussi dans chaque proposition que nous pouvons appréhender (c’est-à-dire non pas seulement celles de la vérité ou de la fausseté de laquelle nous pouvons juger, mais toutes celles auxquelles nous pouvons penser), tous les constituants sont des entités réelles desquelles nous avons une connaissance directe. Or nous ne connaissons pas des choses telles que la matière (au sens que la matière a en physique) ou l’esprit d’autrui, qu’au moyen d’expressions dénotantes, c’est-à-dire que nous ne les connaissons pas directement, mais seulement comme ce qui a telles et telles propriétés. Aussi, quoique nous puissions former des fonctions propositionnelles C(x) qui doivent valoir pour telle et telles particules matérielles, ou pour l’esprit de un tel, nous ne connaissons pas directement les propositions qui affirment ces choses que nous savons devoir être vraies, parce que nous ne pouvons appréhender les entités réelles en question. Ce que nous savons, c’est que « un tel a un esprit qui a telles et telles propriétés », mais nous ne savons pas que « A a telles et telles propriétés », où A est l’esprit en question. Dans un tel cas, nous connaissons les propriétés d’une chose sans avoir de connaissance directe de la chose elle-même, et sans, par conséquent, connaître une seule proposition dont la chose elle-même soit un constituant!
Il y aura de nombreuses autres conséquences du point de vue que Russell défend, mais il ne dira pas un mot. Il veut seulement nous prier de ne pas rejeter sa thèse de la dénotation – ainsi qu’on pourrait être tenté de le faire à cause de son excessive complication – jusqu’à ce qu’on ait nous-mêmes tenté d’élaborer une fameuse théorie de la dénotation. Une telle tentative nous convaincra, dit-il, il le croit, que quelle que puisse être la théorie vraie, elle ne saurait avoir la simplicité que l’on peut en attendre dès le départ… d’ailleurs, il fut aussi intéressé par la question des fondements des mathématiques dès ses premiers travaux (An Essay on the fondation of Geometry (1897)), il rédige les Principles of Mathematics (1903) et, il a collaboré avec A.N Whitehead, les trois volumes des fameuses Principia Mathematica (1911 -13). À la suite de Frege, il aura été un des défenseurs du « logicisme », une des grandes philosophies des mathématiques du vingtième siècle. En France, Russell débattra avec Poincaré dans les pages de la Revue de Métaphysique et de morale. D’ailleurs, sur ces questions, il aura une profonde influence sur Couturat, Ramsey et Carnap.
Et pour finir, ayant été éduqué à Cambridge à la fin du XIXe siècle, Russell, en compagnie de son ami G.E. Moore, rejeta la philosophie de ses maîtres idéalistes (Bradley, McTaggart) – un tournant fondamental dans l’histoire de la philosophie anglaise – au profit de ce qu’il appelait alors, dans une conférence à la Société française de philosophie en 1911, le « réalisme analytique », programme d’où allait sortir la philosophie analytique!
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