jeudi, décembre 06, 2012

À MÉDITER..!

"LA CHANCE, C'EST CE QUI ARRIVE QUAND LA PRÉPARATION COÏNCIDE AVEC L'OPPORTUNITÉ."  [SÉNÈQUE]

mardi, octobre 02, 2012

DIEU EST MORT..!

La totalité de cet univers qui nous importe vraiment, celui dans lequel s'enracine nos désirs, nos joies, nos espoirs, nos couleurs, nos lignes, nos imaginations, nos prières et nos malédictions, c'est un univers que nous nous sommes nous-mêmes créé; ensuite nous l'avons oublié, de telle sorte qu'après coup nous lui avons inventé par surcroît un Créateur, ou nous nous sommes torturé l'esprit avec le problème des origines...[Nietzsche]

samedi, septembre 01, 2012

Selon DALE CARNEGIE!

"Porter un intérêt sincère à autrui est la première qualité qu'un vendeur doit posséder, comme tout un chacun d'ailleurs."

 [Dale Carnegie]

Selon ALFRED ADLER

"L'INDIVIDU QUI NE S'INTÉRESSE PAS À SES SEMBLABLES EST CELUI QUI RENCONTRE LE PLUS DE DIFFICULTÉS DANS L'EXISTENCE ET NUIT LE PLUS AUX AUTRES."
 [Alfred Adler]

mardi, mai 08, 2012

Citation sur l'amour!

Celui qui ne sait rien, n'aime rien. Celui qui n'est capable de rien ne comprend rien. Celui qui ne comprend rien est sans valeur. Mais celui qui comprend, celui-là aime, observe, voit... Plus on en sait sur une chose, plus grand est l'amour... Qui imagine que tous les fruits mûrissent en même temps que les fraises ne sait rien des raisins. [PARACELSE]

mardi, février 28, 2012

LE FAMEUX EXEMPLE DU GARÇON DE CAFÉ!

JEAN-PAUL SARTRE ; En ce sens il nous faut nous faire être ce que nous sommes. Mais que somme-nous donc si nous avons l’obligation constante de nous faire être ce que nous sommes, si nous sommes sur le mode d’être du devoir être ce que nous sommes? Considérons ce garçon de café. Il a le geste vif et appuyé, un peu trop précis, un peu trop rapide, il vient vers les consommateurs d’un pas un peu trop vif, il s’incline avec un peu trop d’empressement, sa voix, ses yeux expriment un intérêt un peu trop plein de sollicitude pour la commande du client, enfin le voilà qui revient, en essayant d’imiter dans sa démarche la rigueur inflexible d’on ne sait quel automate, tout en portant son plateau avec une sorte de témérité de funambule, en le mettant dans un équilibre perpétuellement instable et perpétuellement rompu, qu’il rétablit perpétuellement d’un mouvement léger du bras et de la main. Toute sa conduite nous semble un jeu. Il s’applique à enchaîner ses mouvements comme s’ils étaient des mécanismes ; il se donne la prestesse et la rapidité impitoyable des choses. Il joue, il s’amuse. Mais à quoi donc joue-t-il ? Il ne faut pas l’observer longtemps pour se rendre compte : il joue à être garçon de café.